La bonne part n’est pas toujours ce que l’on souhaiterait matériellement apercevoir, mais d’avantage ce qui est vitale. Car, alors que les hommes se complaisent dans la satisfaction des besoins pressants et du présent, des changements immédiats ou encore que l’on agisse selon leur vœu ; la bonne part quant à elle consiste principalement à penser le comportement humain en prêchant l’amour – Christ en nous, l’espérance de la gloire. En effet, le changement est parfois beaucoup plus profond que cela puisse paraître, au point où les solutions immédiates n’en seraient qu’un voile qui créé l’illusion – tel l’arbre qui cache la forêt.

Rappelons-nous cette parole : ne vous satisfaisez pas de ce que les démons vous obéissent, mais rassurez-vous que votre nom soit inscrit dans le livre de vie.

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