Tu es maître de ton destin

Plus d'excuses, tu es maître de ton destin et ce qui t'arrive ou t'arrivera est/sera entièrement de ta faute.

De même qu’à Jonas il a été donné une prophétie qui ne s’est pas accompli parce que Dieu a eu compassion du peuple de Ninive (promise à la sanction) en raison de son humiliation devant Dieu, il est des possibilités de changer sa destinée devant Dieu qui n’attend visiblement que notre repentance. Car, même le peuple d’Israël à qui il avait été promis une gloire éternelle a été sanctionné et à bien des égards reniés par Dieu au regard de son attitude traditionnelle, condescendante et ingrate.

Ce qui précède est la preuve de ce que l’être suprême reste souverain. De même qu’il accorde sa grâce à celui qui initialement condamné se propose à la répentance avec un coeur sincère, il la retire à la génération bénie qui se montre infidèle.

Ainsi, alors que la bénédiction n’est plus générationnelle mais méritée (l’histoire des pères pouvant servir de guide aux fils pour bénéficier de la gloire générationnelle), la malédiction n’est pas acquise à un peuple qui au départ trouvé pécheur s’est proposé à la répentance.

Par conséquent, si tu as le don de prophétie au travers des paroles que Dieu met en toi de communiquer à son peuple, ne t’offusque pas de leur non accomplissement ou de leur méprise par les circonstances qui serait en contradiction en temps opportun. C’est d’avantage la preuve qu’elles ont bel et bien été reçu sur une terre fertile (pour ce qui est du maudi répentant), ou sur un terrain pierreux (pour ce qui est du béni pécheur).

Ainsi, nul, pas même les hommes de science ne devrait absolument croire à leur raisonnement qui relève de la logique au risque d’être désavoué parceque trouvé menteur. En effet, Dieu reste souverain dans l’appréciation des circonstances qu’il juge au cas par cas. Cependant, seul l’amour demeure infaillible dans la mesure où il préside au jugement de l’être suprême (Dieu est amour). C’est lui qui condamne la génération bénie qui s’est montrée pécheresse (le péché étant contraire ou un obstacle à l’épanouissement de l’amour et son salaire est la mort), c’est lui qui gracie le pécheur répentant (la répentance étant amoureuse/une preuve d’amour).

Ne nous définissons donc pas par nos prophéties, nos enseignements, nos jugements ou nos écrits scientifiques et ne faisons pas d’eux des logiques insurmontables, des horizons indépassables, des vérités absolues ou des raisonnements infaillibles. Sortons du milieu d’elles et soyons au contraire joyeux de ce qu’on aurait été puissamment utilisé pour proclamer la vérité et que le peuple s’est converti ou annoncé le royaume au peuple qui était précédemment sur la voie (au temps de notre prophétie) et qui s’en est malheureusement par la suite détourné.

Ce qui compte après tout c’est la vie et non d’avoir eu raison de ce que la mort surviendrait ou que la vie se perpétuerait.

 

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