La connaissance intelligente est une liberté rationnalisée

En ce que la connaissance est une liberté, elle est un pouvoir qui résiste contre toutes formes d’oppressions (sataniques)

Considérant l’égalité des libertés (égalité des souverainetés), il convient de rechercher la parole qui édifie (la voie de la sagesse) dans un foisonnement de connaissances (doctrines) qui enfle leurs propriétaires d’orgueil.

C’est assurément une normalité qu’au contact de la connaissance (du bien et du mal) nous soyons éblouis.

Le fait pour certains de vouloir retourner dans l’obscurité de la caverne est un aveu de lâcheté face à leur crainte de la corruptibilité (qui consiste dans la polarité d’une réalité bipolaire – partialité. Car, il s’agit d’une gestion dangereuse du bien et du mal “le ying et le yang” dont on est propriétaire).

Le fait pour d’autres d’aborder la connaissance sans discernement constitue un retour inconscient à la caverne en raison d’une connaissance oppressive qui n’admet qu’une liberté (connaissance), dans une multitude de dieux (doctrines).

Fort de ce qui précède, il sied de ne pas craindre l’illimitation en préférant l’ignorance au risque d’être constamment opprimé. Au contraire, il s’agit d’être illuminé et non pas seulement de croire ou de l’avoir. Car, elle ne consiste pas absolument dans le choix de ce qui est mal ou de ce qui serait tenu depuis fort longtemps pour un bien au risque de partitionner le corps.

Lorsqu’au sein de la Bible, Dieu déclare que “je mets devant toi le bien et le mal. Choisit le Bien et tu vivras”, le premier bien n’est pas compatible au second Bien.

Le second Bien est plus englobant un peu comme l’homme au grand “H” (qui consiste dans l’unité conceptuelle entre l’homme et la femme), à l’alors Dieu au grand “D” (qui consiste dans l’unité dans la pluralité de dieux).

Ce “Bien” ne se compose pas que du premier bien et ne renie pas absolument ce qui est tenu du mal. Les deux la composent tel l’Eros et le Thanatos qui décrivent et définissent L’Homme. Il est le “Bien” illuminé – le “Bien” suprême. C’est là où se trouve Dieu. C’est Dieu. Celui qui ne conçoit pas cette réalité sera en dissonance cognitive de façon permanente.

La preuve est que peu importe ce que vous faites dans la vie, il y a toujours un jugement positif et négatif. Chacun y va selon son degré de connaissance ou de naïveté. Il n’y a donc pas de souverain bien ou de souverain mal.

Il n’y a qu’un Dieu qui dans sa souveraineté agit en bien en se montrant favorable au bien ou en mal en se déssolidarisant ou en frappant le mal. La source de toute chose est donc finalement le cœur de l’homme qui identifie dans une certaine mesure de sa conscience.

En ce que Dieu est amour et s’identifierait du souverain “Bien”, ce dernier se définit dans l’amour (la sagesse) qui dans sa manifestation s’emploie à la connaissance du bien et du mal. La crainte de l’Éternel (du prochain) est ainsi le commencement de la sagesse.

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