L’amour est le médicament de l’âme. Il n’est pas un médicament qui obéit à une posologie déterminée bien qu’à la recherche de solutions adéquates à son absence, ses carences, ou son déclin, elle peut consister à la réplication des pratiques existantes, d’usage dans des contextes particuliers, distincts de celui où elles seraient convoquées. Les manifestations plurielles de l’amour sont globalement en rapport avec les attentes démesurées, les convoitises charnelles et insatiables de l’homme. Toutefois, elles ne sauraient individuellement s’identifier où se prévaloir la démonstration objective et exclusive de l’amour (bien que contribuant à sa description) dans la mesure où lesdites manifestations relèvent de la subjectivité. L’amour ne se définissant que dans l’amour est une manière d’être.